Il y a beaucoup des idées reçues concernant la musique et l’apprentissage des langues étrangères. Parmi elles, il y a cette pensée affirmant que les musiciens auraient plus de facilité à apprendre des langues étrangères. Mais au fait, est-ce réellement une idée reçue ou une réalité ? Y a-t-il un lien entre la musique et les langues ? On en parle !

La musique : quel rôle dans l’apprentissage des langues étrangères ?

Il y a beaucoup de choses pour lesquelles les Français sont doués, mais on n’est pas les champions en matière de langues étrangères. D’ailleurs, ce n’est plus un secret. C’est pour cela que l’éducation prévoit une nouvelle méthode pour combler les lacunes. Raison pour laquelle on évoque que les musiciens auraient des atouts quand il s’agit de langues étrangères. C’est probablement parce que la musique a un rôle à jouer dans l’apprentissage d’une nouvelle langue.
Grâce à son pouvoir d’expression, elle se présente comme une merveilleuse méthode pour s’approprier une langue étrangère. À vrai dire, une étude menée sur ce sujet a permis de démontrer que le pouvoir musical n’est pas à sous-estimer. Il suffit en effet d’écouter des phrases chantées et parlées pour savoir qu’il est plus facile de mémoriser et exprimer le chant. Voilà bien une bonne nouvelle pour les amateurs de musique.
Ainsi, ceux qui souhaitent joindre l’utile à l’agréable peuvent apprendre une nouvelle langue grâce à la musique.

Pour le plaisir d’apprendre !

La musique est l’outil rêvé pour apprendre la langue des étrangers si l’on ne veut pas mémoriser des formules grammaticales qui donnent l’impression de comprendre des formules mathématiques. C’est vrai, le bain de langue est parfait pour apprendre à s’exprimer, mais dans la plupart de cas, les natifs s’expriment un peu trop rapidement dans leur conversation, à tel point que l’on ne suit rien.
Ce qui est totalement l’inverse avec les paroles mises en musique. Récitées et répétées à un rythme plus ou moins lent, les paroles sont plus faciles à comprendre. Ce qui permet d’ailleurs de faciliter l’écoute tout en se familiarisant avec la prononciation.
C’est probablement pour cela que les musiciens ont plus de facilités à apprendre une langue vivante.

L’anglais, comme toutes les autres langues, peut bien entendu s’apprendre à tout âge. Si cela reste bien plus facile pour des jeunes enfants qui sont en plein apprentissage et dont le cerveau est en constante activité, en utilisant les méthodes appropriées, n’importe qui peut maîtriser la langue de Shakespeare.

L’immersion, la clé d’un apprentissage réussi

Si des personnes sont plus réceptives que d’autres à l’apprentissage de l’anglais, chacun peut, en utilisant les techniques appropriées, apprendre correctement à se débrouiller en anglais. La clé de tout est l’immersion. En étant baigné dans un environnement anglophone suffisamment longtemps, vous apprenez à votre cerveau à identifier, reconnaître et mémoriser l’anglais. Sans vous en rendre compte, vous intégrez les tournures de phrases et les expressions qu’aucun cours d’anglais à l’école n’aurait été en mesure de vous apporter.

Pour cela, à n’importe quel âge, vous pouvez choisir de vous rendre dans un pays anglophone et d’y passer du temps pour vous immerger dans l’anglais. Évidemment pour que se soit efficace, vous devrez impérativement vous imposer de parler anglais, même si la tentation est grande, dès que possible, de “switcher” en français. Quand vous possédez déjà les bases grammaticales, on considère qu’il faut environ deux mois pour parler sans réfléchir, penser, voire rêver en anglais !

D’autres méthodes à portée de main

Il existe aussi bien d’autres méthodes qui ont fait leur preuve pour apprendre l’anglais. Vous pouvez participer à des cours de langues intensifs par exemple, mais vous serez toujours dans le cadre contraignant de l’apprentissage. Pourquoi ne pas alors faire cela directement chez vous, en vous faisant plaisir. Apprendre est toujours plus simple dans le cadre des loisirs

Regarder les films que vous aimez en VO, sous-titrée ou non, est la première étape. Vous connaissez déjà l’histoire, votre cerveau n’aura donc qu’à se concentrer sur la langue. Après des visionnages réguliers, vous pouvez passer à l’étape lecture. Pas besoin de tout comprendre, de traduire chaque mot, mais intégrer le sens des articles est déjà un pas important. Il faudra simplement s’astreindre à traduire les mots clés qui vous bloquent dans votre compréhension globale des textes.

N’oubliez pas, le cerveau est un muscle et quel que soit votre âge, un entraînement régulier suffit à le rendre performant, même dans l’apprentissage de l’anglais !

Quel que soit votre cas, vous trouverez ci-dessous un bon moyen d’améliorer votre anglais :

1 – Lire en anglais

Qu’il s’agisse d’articles de commérages, de journaux ou de livres, l’important est de commencer. Choisissez le genre ou le sujet que vous préférez et vous aurez ainsi un double avantage : la lecture ne vous ennuiera pas et vous serez encore plus motivé pour continuer à découvrir la suite des événements. Intelligent, n’est-ce pas ? Il vous sera ainsi plus facile d’améliorer votre lecture et d’élargir votre vocabulaire.

2 – Regardez des films et séries en anglais

Encore une fois, vous pouvez choisir quoi : des vidéos sur Youtube aux documentaires, des films les plus disparates à la célèbre série télévisée si populaire ces dernières années. Si vous ne pouvez vraiment pas vous en passer et qu’ils sont disponibles, vous pouvez d’abord vous aider avec les sous-titres italiens (mais ne devenez pas accro!), Ensuite, passez aux sous – titres anglais et, par conséquent, supprimez-les complètement : rappelez-vous que ce n’est pas indispensable que vous comprenez tout immédiatement, mais qu’il est normal au début de ne comprendre que le cœur de la discussion ; avec la pratique, vous irez de mieux en mieux ! Choisissez toujours quelque chose qui vous passionne, pour en tirer le maximum d’avantages. Et profitez de tous les aspects de la technologie : si, par exemple, vous ne pouvez tout simplement pas comprendre un mot, mettez votre vidéo en pause, réécoutez-la jusqu’à ce que vous compreniez ou, alternativement, utilisez le vocabulaire pour rechercher des termes que vous ne connaissez pas. Cela facilitera la perfection de votre écoute.

3 – Écrivez en anglais

Surtout si vous souhaitez renforcer et améliorer votre grammaire et votre vocabulaire. Cet exercice sera particulièrement utile si vous prévoyez ou pensez devoir apprendre à utiliser la langue de manière formelle : peut-être qu’à l’avenir, vous n’utiliserez l’anglais que pour communiquer en vacances ; peut-être que votre travail vous obligera à utiliser l’anglais de manière formelle et correcte. Les règles de grammaire ne sont pas tout, mais elles constituent certainement une bonne base de départ. On vous dira souvent que ce sont les Anglais eux-mêmes qui n’utilisent pas correctement tel ou tel temps, mais à l’école, c’est un des critères d’évaluation et il faut donc l’étudier. Par exemple, vous pouvez rejoindre certains forums ou groupes de personnes qui veulent apprendre une langue étrangère (en d’autres termes, la version technologique de l’ancien correspondant), ou vous pouvez vous entraîner grâce à des applications et des exercices en ligne : vous améliorerez ainsi votre écriture.

4 – Prévoyez un voyage à l’étranger

Faites l’effort de parler anglais avec les personnes que vous rencontrez. Même si vous suivez les meilleurs cours avec les professeurs les plus compétents, et malgré tous les trucs et astuces, le meilleur conseil reste d’étudier ou d’améliorer votre anglais dans les pays anglophones. Il est en effet indéniable que le fait de se trouver dans un pays dont la langue est différente et de devoir communiquer est le meilleur moyen de vous encourager à parler, à vous faire comprendre et à comprendre votre interlocuteur. Bien qu’elle puisse vous effrayer, c’est une méthode très efficace. Et si vous ne comprenez pas tout de suite ? Ne vous inquiétez pas, demandez simplement à parler plus lentement ou à vous répéter, s’il vous plaît. De cette façon, vous améliorerez sans aucun doute votre expression et votre compréhension.

5 – N’abandonnez jamais

Si vous faites quelque chose contre votre gré, vous ne réussirez jamais. Prenez donc votre temps et choisissez le soutien avec lequel vous êtes le plus à l’aise et que vous pensez être le meilleur pour vous, et ensuite… Pratiquez constamment ! L’anglais est une langue vivante et, en tant que telle, elle doit être pratiquée quotidiennement si vous voulez obtenir de bons résultats durables. Et si vous faites des erreurs, ne vous inquiétez pas : souvenez-vous que si vous faites une erreur en parlant anglais, c’est parce que vous le parlez comme une deuxième langue, donc vous avez déjà une longueur d’avance !

Pour aller plus loin dans sa carrière, pour poursuivre ses études, pour se développer à l’international, maîtriser une ou plusieurs langues étrangères est la base. Aujourd’hui, c’est l’anglais qui domine dans le monde des affaires. Et contrairement aux idées reçues, il n’est pas l’un des plus difficiles à apprendre. Que ce soit la conjugaison, le vocabulaire ou sa grammaire, la langue de Shakespeare est beaucoup facile que les autres langues étrangères. Pour commencer, connaître quelques adjectifs de base est un très bon début.

Règles de base des adjectifs dans la langue anglaise

En toute logique, avoir un bon bagage de vocabulaire est indispensable pour bien réussir à s’exprimer. Tout comme le français, il faut connaître des adjectifs courants dans la vie quotidienne pour pouvoir décrire un objet, faire passer vos messages et pour exprimer ce que vous avez dans la tête. Connaître des adjectifs anglais est une chose, savoir les utiliser en est une autre. Pas de panique, les règles de base sont plus faciles à utiliser que dans la langue anglaise. Quoi qu’il en soit, il faut savoir que l’adjectif se place toujours devant le nom qualifié, ce qui est bien le contraire de la règle générale de la langue française. Par exemple, pour dire c’est une voiture rouge, on dit « it’s a red car » au lieu de « it’s a car red ». C’est une règle que l’on doit maîtriser pour s’exprimer en anglais rapidement.

Liste non exhaustive des adjectifs utiles au quotidien

L’utilisation d’un adjectif est inévitable pour réaliser la description d’une chose ou pour qualifier quelques choses. Bien sûr, ces mots sont trop nombreux pour que l’on puisse les citer ici, mais il est important d’en apprendre le plus possible pour enrichir votre vocabulaire. Aussi, il faut savoir que la première des adjectifs est celle utilisée pour qualifier l’apparence. Par exemple, short: petit, thin: mince, beautiful: beau, ugly: moche, sharp: pointu, soft: doux. La deuxième catégorie est celle du caractère. Optimistic: optimiste, shy: timide, grumpy: grincheux, bold: audacieux. Puis, il y a les adjectifs pour décrire le sentiment, pour décrire le ton, etc.

Il y a plusieurs façons d’apprendre et de maîtriser une nouvelle langue, parmi elles : les questions ! Savoir poser des questions nous aide non seulement à nous familiariser avec cette langue nouvelle, mais aussi plus important que ça ; apprendre à mieux communiquer avec les autres. Pour ce qui est de l’anglais, sujet de notre article, il sera question des fameuses questions ouvertes commençant par « wh ».

Une question à chaque situation

La fameuse chaine des questions “wh” est bien souvent connue, elle se compose généralement de : who ? (qui), what ? (quoi), why ? (pourquoi) where ? (ou), when ? (quand). On peut aussi rajouter « how ? », qui veut dire comment.

L’ordre de ces questions n’est pas vraiment le fruit du hasard, car il est bien conseillé de toujours commencer par poser la question du « qui » (who) ou par « quoi » (what), pour d’abord savoir de quoi on parle. Ensuite on demande bien évidemment : pourquoi (why) pour approfondir encore plus la compréhension du sujet en question, un peu à la manière d’écriture d’un article journalistique.

Une fois que le sujet est dévoilé et la problématique est connue, il reste à compléter les autres détails de l’histoire, comme : ou s’est déroulé l’action ou l’évènement ; en posant la question de (where ?). Ainsi que le facteur temps, c’est-à-dire quand s’est produit le fait par la question 🙁when ?). Quant à la dernière question ouverte abordé « how ? » et bien cela dépond de la complexité de l’action ou le sujet traité, ou il se peut que vous aillez besoin de savoir d’avantage de détails sur comment s’est déroulé le fait.

Et l’utilité dans ces questions

Poser des questions ouvertes « wh » en anglais reste utile pour optimiser la compréhension en général et améliorer son anglais par la même occasion, car la question ouverte laisse toujours une parenthèse ouverte à votre interlocuteur de répondre à votre question tout en ajoutant des informations souvent utiles. Reste à rappeler qu’il faut bien écouter son allocutaire pour savoir comment enchaîner après.

La langue anglaise figure parmi les langues les plus parlées dans le monde. En effet, le fait de la maîtriser nous ouvre de nombreuses portes, et ce dans de nombreux domaines. Toutefois, bon nombre de gens ont du mal à maîtriser l’anglais. Certains éprouvent une grande peur de parler en anglais devant une audience. Voici quelques conseils pour vaincre cette peur.

Connaître la raison de la peur

Pour pouvoir vaincre votre peur de parler en anglais, vous devez commencer par comprendre et connaître les raisons de cette peur. En général, les gens sont timides et n’ont aucune confiance en eux. C’est pourquoi ils ont peur de parler. Mais il se peut également que vous éprouviez une peur de parler en anglais, car ils redoutent de ne pas être compris.

Exercer les oreilles à l’anglais

Si vos oreilles ne sont pas habituées à la langue anglaise, vous aurez du mal à vous exprimer dans cette langue. Certes, de telles activités demandent beaucoup d’adaptation. Néanmoins, elles sont nécessaires pour se familiariser avec une langue étrangère.

Le fait d’écouter et d’habituer vos oreilles à l’anglais, vous pourrez reconnaître les sonorités ainsi que les accents anglais. Pour ce faire, vous pourrez écouter des émissions radiophoniques. Regarder un film en version anglaise est aussi une bonne technique pour s’imprégner de la langue anglaise.

Converser avec une personne proche et de confiance

Il est souvent difficile de converser avec une langue étrangère devant une inconnue. Effectivement, déjà nous ne connaissons pas la personne. De plus, nous devons parler une langue qui n’est guère la nôtre. Dans de telles situations, la peur s’installe facilement. Le mieux est de faire notre début avec une personne que nous connaissons très bien. Cela peut être notre conjoint, un ami ou nos enfants. Le but est de s’entraîner et apprendre à gérer nos tracs et nos peurs. Si vous ne trouvez pas une personne avec qui parler en anglais, optez pour un exercice devant un miroir. Cet exercice est très efficace pour acquérir une certaine aisance en soi.

Bref, pour votre épanouissement aussi bien sur le plan professionnel que personnel, apprenez la langue anglaise. N’ayez pas peur de vous exprimer en cette langue.

Toute personne apprenant l’anglais un jour va devoir s’y mettre : l’apprentissage des verbes irréguliers. Le moins que l’on puisse dire est que cela peut devenir très compliqué sans aucune méthode et discipline. Voici quelques conseils qui vont vous permettre de les apprendre en douceur et sans se démotiver.

S’y mettre un peu tous les jours

Il ne sert à rien de se précipiter en passant des heures et des heures devant l’interminable liste des verbes irréguliers. Vous risquez seulement de vous dégoûter de l’anglais et de vous décourager. De plus, pour s’en rappeler sur le long terme, il est important de prendre son temps pour bien les assimiler un à un. Fixez-vous par exemple une dizaine de verbes irréguliers à apprendre par jour. Cette fréquence et cette quantité paraissent raisonnables. Dès que vous en avez assez, arrêtez tout. Vous reprendrez demain.

S’entraîner

Le meilleur moyen d’assimiler les verbes irréguliers est de s’entraîner régulièrement. Faites des exercices. Auto-évaluez vous en créant des tableaux vides que vous allez devoir remplir juste avec la mémoire. De même, motivez-vous à conjuguer un verbe irrégulier à tous les temps. Corrigez-vous ensuite et prenez le temps de comprendre vos erreurs pour ne plus les reproduire par la suite. Si un verbe n’est pas su, vous pouvez vous accorder quelques minutes pour le réviser.

Les classer

Vous n’êtes pas obligé d’apprendre les verbes dans l’ordre qu’on vous impose. Vous pouvez les classer comme bon vous semble. Certains vont tout simplement classer les verbes par ordre alphabétique tandis que d’autres vont les classer par ressemblance. Par exemple, « begin » va très bien avec « swin » puisque les deux voient leur « i » se transformer en « a » puis en « u ».

Les avoir toujours sous les yeux

Vous êtes aux toilettes quelques minutes ? C’est l’endroit parfait pour y coller une fiche avec quelques verbes à réviser. Vous pouvez en mettre un peu partout dans votre maison pour avoir constamment de quoi apprendre. À force de les voir, votre cerveau va les mémoriser sans effort.

Avez-vous déjà entendu parler de « fille au pair ?». Savez-vous ce que c’est ? Une fille au pair désigne une jeune fille qui voyage et vit auprès d’une famille d’accueil dans le cadre d’un échange culturel. Si le sujet vous intéresse, ce topique est pour vous.

Qu’est-ce qu’une fille au pair ?

Une fille au pair est une jeune âgée de 18 à 30 ans qui participe à un échange culturel. Pendant une durée déterminée, elle va vivre auprès d’une famille d’accueil à l’étranger. Elle ne doit pas être en couple et ne doit pas avoir d’enfants. Elle est logée, nourrie, blanchie, et ce, gratuitement. La famille d’accueil lui procure aussi de l’argent de poche. En contrepartie, elle participe aux tâches ménagères et s’occupe des enfants. Toutefois, elle ne doit pas être considérée comme une ménagère ou une nounou. La fille au pair n’est pas rémunérée pour son aide.

Comment fonctionne un séjour au pair ?

Un séjour au pair permet à la fille bénéficiaire d’approfondir ses connaissances culturelle et linguistique du pays d’accueil. En ce sens, on ne peut pas parler de séjour au pair si la personne reste dans une famille d’accueil dans son propre pays. En pratique, la fille au pair va participer à des cours de connaissances de base et de langue du pays d’accueil. À noter que certains pays n’imposent pas de cours. Pour ce qui est des frais du voyage, elles sont à négocier par cas. En principe, la fille au pair règle elle-même ses frais, mais la famille d’accueil peut prendre en charge une partie ou la totalité.

Comment devenir une fille au pair ?

Pour devenir fille au pair, il faut s’inscrire auprès d’un organisme permettant de faire des séjours au pair. Mais pour cela, il faut d’abord respecter les conditions requises comme la limite d’âge (18 à 30 ans), statut célibataire et sans enfant. À cela s’ajoute les formalités administratives pour voyager à l’étranger, notamment un visa et passeport valide pendant la durée du voyage. Certains pays imposent que la fille au pair se munisse d’un montant spécifique pour subvenir à ses frais de déplacement. Ainsi, les spécificités demandées dépendent du pays d’accueil choisi.

L’une des meilleures manières de se familiariser avec la langue anglaise et faciliter d’autant plus son apprentissage, c’est s’adonner aux expressions anglaises. Les plus usuels d’entre elles de préférence, puis de les traduire.

Plus l’expression est simple, plus elle se retient

Que vous ayez déjà pas mal de notions en anglais ou que vous soyez débutant, l’usage des expressions est une astuce très intéressante, vue qu’elle porte un sens plus significatif que quand on essaye d’apprendre la langue de Shakespeare en un tas de mots éparpillé dans tous les sens. Ses derniers finiront par être oublié quelques jours après, de ce fait nous avons fait une petite sélection d’expressions aussi simple qu’utile pour se débrouiller en terre anglophone. C’est parti !

Exemples pour Débutants :

A : Hello, how are you ? B : I am fine, thank you.
a : Salut, comment allez vous ? b : Je vais bien, merci.
A : Taxi ! take me to the downtown hotel please. B : OK, ride on !
a : Taxi ! Emmenez-moi à l’hotel du centre-ville s’il vous plait. b : OK, montez!

Exemples plus avancés :

A : I am free like a bird.
a: Je suis libre comme l’air.
A : I could eat a horse.
a : J’ai une faim de loup.
A : i will keep you posted .
a :Je vous tiendrai au courant.

Exemples idiomatiques/professionnels :

A : Where do you want to go Harry ? Harry : I am not fussed !
a : Ou tu veux aller Harry ? Harry : peu importe !
A : Our new system has an easy learnin cuve.
a : Notre nouveau système peut être maîtrisé en peu de temps.
A : We have to think outside the box.
a : Nous devons penser différemment.

Et pas que !

Une bien bonne et rapide astuce qui vous aidera sans doute à aller plus vite dans votre quête d’un anglais plus au moins parfait, mais si il y a une chose que vous ne devez absolument pas perdre de vu dans tout apprentissage : La Pratique !
S’entraîner de manière régulière en suite mettre en application aussi tôt que possible.

Pour décrocher un emploi, la bonne maîtrise de la langue de Shakespeare est un atout à faire valoir dans un CV. En effet, pour mieux s’ouvrir à l’international, la plupart des entreprises préfèrent recruter des candidats ayant un bon niveau d’anglais. Pour convaincre les recruteurs sur votre capacité à écrire, à lire et à parler en anglais, il faut présenter une attestation. Découvrez les diplômes d’anglais les plus appréciés dans le monde du travail.

La certification TOEIC

Le TOEIC (Test of English for International Communication) est un test de langue dédié aux personnes non anglophones pour évaluer leurs aptitudes dans la maîtrise des vocabulaires des affaires et la communication en anglais dans l’entreprise. Pour obtenir cette certification, il faut passer le test de l’IELTS (International English Language Testing System). L’obtention de plus de 750 points à l’examen TOEIC signifie un bon niveau d’anglais permettant une bonne intégration dans un environnement de travail anglophone.

Le Diplôme de Compétence en Langue ou DCL

Il s’agit d’un diplôme de langue délivré par le ministère de l’Éducation nationale et qui est ouvert aux étudiants, demandeurs d’emploi, stagiaires, salariés, etc. Le DCL valide la capacité d’un candidat à interagir en anglais dans un monde professionnel. L’examen se déroule dans les universités, les centres GRETA et les académies de France. Chaque épreuve dure 2 h 30 et comporte 5 phases simulant différentes situations au travail. L’inscription à l’examen DCL anglais ne requiert pas un diplôme ou une formation linguistique.

La certification BULATS

Récemment remplacé par le LINGUASKILL BUSINESS, le BULATS est une certification d’anglais éditée par Cambridge Assessment. Pour obtenir le certificat LINGUASKILL, il faut passer un examen de compréhension orale et écrite qui se déroule entièrement en ligne. Les épreuves durent 1 h 30 et comportent plusieurs contextes en entreprise : réunions, rédaction de rapports, communications téléphoniques, etc. Pour passer le test en linge, il faut vous inscrire dans un centre habilité par l’Université de Cambidge.

D’autres diplômes d’anglais très connus comme le TOEFL (Test of English as a Foreign Language) en version longue, le CPE (Certificate of Proficiency in English) et le BCE (Business English Certificate) constituent un grand atout pour intégrer le monde du travail.